Son mandat, qui se termine officiellement le 13 mai, sera prolongé de quelques semaines pendant cet été « afin de garantir la bonne organisation des Jeux olympiques et paralympiques », précise le communiqué.
Si j'étais lui, je claquerais la porte dès aujourd'hui et laisserai le gouvernement qui le vire dans la panade.
la situation des comptes publics est devenue une source de vulnérabilité pour l’exécutif, qui avait, depuis 2017, fait de sa compétence en matière économique un élément de différenciation fort vis-à-vis des oppositions. Et en avait tiré un solide capital politique, constant au cours des dernières crises.
Euh à part les éditorialistes macrono-béats du Monde, il n'y avait pas grand monde pour voir du «capital politique» solide dans la gestion économique et budgétaire du gouvernement hein …
Gabriel Attal a également fait savoir que, « dès septembre » et pour « toute la scolarisation » des enfants, les dossiers d’inscription à l’école seront désormais préremplis avec les informations d’état civil connues, pour faire gagner du temps aux parents.
Tu vois le mec bien au courant de ses dossiers: pour la rentrée de septembre prochain, les inscriptions scolaires sont terminées depuis 10 jours!
« D’ici la fin de l’année, trente opérateurs essentiels comme France Travail, la CAF, la police nationale ou l’administration fiscale atteindront l’objectif de 85 % de décrochage téléphonique »
85% ? C'est un peu random comme chiffre, soit tu t'organises pour qu'il y a toujours quelqu'un au bout du fil (en ayant un service téléphonique dédié) et dans ce cas là tu dois être pas loin de 100% (il ne s'est pas engagé sur un temps d'attente au bout du fil) soit non …
Dans l’Union européenne, le taux de l’impôt sur les sociétés est passé de 31,9 % en moyenne en 2000 à 21,5 % en 2021. En France, déjà en 2010, le rapport Champsaur-Cotis au président de la République, Nicolas Sarkozy, avait alerté sur ce problème et expliqué qu’« en l’absence de baisses de prélèvements la dette publique serait environ 20 points de PIB plus faible aujourd’hui ».
La concurrence entre les États fait baisser l'imposition, et creuse la dette publique.
Tous les parents en capacité de le faire s'impliquent nécessairement, creusant ainsi les inégalités sociales et favorisant la reproduction sociale.
C’est donc en 1971, que le corps médical va obtenir l’instauration du numerus clausus en médecine. Si avant, le passage en deuxième année de médecine était conditionné à la réussite aux examens, désormais, les étudiants devront réussir un concours et figurer parmi les premiers pour accéder aux études médicales. De 1971 jusqu’aux années quatre-vingt-dix, le numerus clausus ne cessera de diminuer. « Le nombre d’étudiants a été divisé par deux et demi quasiment de 1971 au milieu des années quatre-vingt dix »
Pour bâtir le village olympique ou reconstruire Notre-Dame de Paris après l’incendie, Emmanuel Macron s’est appuyé sur des lois d’exception. Un mécanisme décliné depuis sa réélection en 2022 pour tenter d’accélérer le développement des énergies renouvelables, la construction de réacteurs nucléaires ou contenir la crise du logement.
LE CHEF DE L’ETAT se passerait bien de l’Etat. Chef tout court. Débarrassé de cette puissante administration où s’engluent toutes ses décisions. D’ailleurs, chaque fois qu’il a essayé, ça lui a plutôt réussi. Emmanuel Macron s’en félicitait encore jeudi matin en inaugurant le village olympique. Un chantier livré « dans les temps » et « dans le budget », observait le président de la République. Dans le bâtiment, ça n’est pas si courant. Pour des Jeux olympiques, ça l’est encore moins. Pourtant, Emmanuel Macron l’a souligné, « les engagements qu’on a pris en 2017, on les a tenus ». Grâce à un outil fort prisé du Président : une loi d’exception pour contourner les pesanteurs administratives de l’Etat.
Adopté le 26 mars 2018, le texte visait à accélérer la construction des infrastructures promises au CIO pour obtenir l’organisation des JO. Et à s’affranchir des procédures habituelles qui, si elles avaient été suivies, n’auraient jamais permis d’achever les travaux dans les temps impartis. C’est ainsi, par exemple, que l’enquête d’utilité publique, obligatoire avant toute opération visant à modifier l’urbanisme ou l’environnement, a été remplacée par une simple consultation électronique. C’est ainsi aussi que l’interdiction d’affichage publicitaire sur les immeubles classés ou les bâtiments historiques a été suspendue pour s’aligner sur les exigences du CIO. Au bout du compte, le texte de loi JO empile les dérogations au droit français et les allègements de procédures. Comme pour Notre-Dame de Paris, elle aussi bénéficiaire d’une loi d’exception après son incendie pour accélérer sa reconstruction.
Procédures pointilleuses.
Emmanuel Macron en a fait un outil presque ordinaire de sa politique. Dès qu’il s’agit d’aller vite, le président de la République s’affranchit par la loi de ces normes qui ralentissent son action. Pour Notre-Dame, il s’agissait de contourner les procédures pointilleuses de la direction des monuments historiques du ministère de la Culture. « Sinon on en prenait pour vingt ans », résume-t-on dans l’entourage du Président. La cathédrale sera finalement reconstruite en cinq ans, comme promis par le chef de l’Etat après l’incendie, et malgré le scepticisme général
qu’avait provoqué son annonce à l’époque.
De quoi nourrir la tentation de recourir plus souvent à l’outil. Au regard des différentes « urgences » et autres « priorités » décrétées par Emmanuel Macron, les chantiers ne manquent pas. « Attention, prévient-on toutefois dans son entourage. Si l’exception est généralisée, elle devient la règle et ce n’est pas possible. Une loi d’exception ne peut porter que sur un sujet précis pour lequel il faut aller vite ».
Ces lois d’exception, le chef de l’Etat les réserve à des situations bien particulières : lorsqu’il s’agit de bâtir en situation d’urgence. Comme pour les Jeux Olympiques et Notre-Dame donc. Mais aussi pour les énergies renouvelables et le nucléaire, et bientôt pour le logement. C’était d’ailleurs l’une de ses promesses de campagne de 2022. Lors de la présentation de son programme en mars 2022, Emmanuel Macron avait proposé de recourir « pour tous les dossiers prioritaires à une loi d’exception afin de réduire les délais et de simplifier drastiquement les procédures ». Il en a donc identifié trois.
Parking. Avec les énergies renouvelables, il s’agit d’affronter le réchauffement climatique. Et de se doter des moyens de réduire deux fois plus vite les émissions de gaz à effet de serre en favorisant le développement des énergies renouvelables. En évitant aussi que les recours interrompent ou gèlent les projets comme les parcs éoliens. Autre urgence avec le nucléaire, reprendre le contrôle de la production énergétique du pays alors que l’Europe s’est coupée du gaz russe sur fond de guerre en
Ukraine. La loi d’exception vise à concrétiser la promesse d’Emmanuel Macron de construire six nouveaux réacteurs EPR à l’horizon 2035 et lancer des études pour huit autres.
Pour aller vite, le texte allège les démarches nécessaires pour construire de nouvelles centrales à proximité des installations existantes. Des dispenses de permis de construire sont accordées. Les délais d’instruction pour la construction de parking ou de clôtures sont réduits. Certaines normes de la loi Littoral sont suspendues, comme d’autres sur la politique de zéro artificialisation nette.
Dernière urgence enfin avec la crise du logement que traverse le pays. Là encore, il s’agit de supprimer des procédures et de s’affranchir de certaines normes pour aller vite. Porté par la secrétaire d’Etat à la ville Sabrina AgrestiRoubache, le plan comporte vingt « opérations d’intérêt national » pour réhabiliter des quartiers, des logements ou des zones industrielles.
A chaque fois, la même logique prévaut. « Ce qui prend du temps, ce sont les délais de recours, les règlementations contraignantes ou la lourdeur des procédures, explique-t-on dans l’entourage du chef de l’Etat. Il s’agit de s’en affranchir ponctuellement, mais pas de les supprimer. Ces normes sont aussi utiles pour nous aider à respecter nos engagements environnementaux par exemple ».
Si ces lois d’exception s’avèrent efficaces, difficile toutefois d’en généraliser le principe. Concentrées sur un lieu, un objectif précis et ponctuel dans le temps, elles permettent à Emmanuel Macron de concentrer les moyens de l’Etat et de contrôler son action. Mais il ne s’agit pas d’une politique publique à déployer sur l’ensemble du pays. Dans l’entourage du Président, on le reconnaît presque à regret : « A l’échelle de la France, c’est beaucoup plus compliqué ».
Si cet outil législatif s’avère efficace, difficile toutefois d’en généraliser le principe
Tu as des règles, qui s'appliquent à tous et qui montrent leurs limites, et paf quand c'est l'État qui veut faire quelque chose tu t'accorde une dérogation pour éviter la contrainte que tu imposes par ailleurs à tout le monde … Et c'est comme ça que je me retrouve à ne pas avoir le droit de poser une fenêtre en PVC dans ma maison «parce que aux alentours d'un monument historique» alors que l'école primaire en face de chez moi est entièrement avec des fenêtres PVC …
Mais attention, hors de question de supprimer toutes les normes comme le réclament les libéraux, la plupart d'entre elles sont là pour de bonnes raison et les décénnies précédentes nous ont montré ce que la «dérégulation» pouvait faire comme dégats. Non, les raisons d'être des normes importantes, il faut simplement faire en sorte que les procédures soient simples et que l'administration apporte son appuis pour aider les porteurs de projets à respecter les normes, plutôt que de se contenter de faire la police. (Et oui, ça implique une administration dotée de d'avantage de moyens et de compétence, à l'inverse du fanstasme d'État minimal des libréraux)
Le gouvernement des nulos en économie: on est au bord de la récession, faire des coupes budgétaires c'est le truc à ne pas faire et eux ils foncent tête baissé dans le désastre …
Le mur budgétaire de 2025 se rapproche. Pour trouver des économies inédites, le chef de l’Etat et son Premier ministre n’ont pas d’autres choix que de s’attaquer au sujet
Gabriel Attal, lors de son discours de politique générale à l’Assemblée nationale, le 30 janvier dernier.
Réduction de la durée d’indemnisation du chômage, désindexation des retraites, économies sur les dépenses de santé, les pistes explorées sont nombreuses. Et explosives.
DIX MILLIARDS DE COUPES dans les dépenses de l’Etat par décret, ce n’était qu’un apéritif ! Une mesure d’urgence pour tenir la réduction du déficit programmée pour 2024 sans passer devant le Parlement et risquer une motion de censure. « Cela représente moins de 0,5% de la dépense publique, souligne un conseiller du pouvoir. C’est une étape, pas une finalité ». Un euphémisme.
Car, si la prévision de croissance a été revue à la baisse pour 2024, de 1,4% à 1%, celle de l’année prochaine est aussi obsolète. Elle devrait être loin de la cible de 1,7%. Et qui dit moins de croissance, dit moins de recettes. Il va donc falloir trouver beaucoup plus que 12 milliards d’économies. Le président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, qui a une petite expérience de Bercy, a déjà prévenu : « Le budget 2025 sera d’une importance sans doute inédite ». Si les objectifs de réduction des déficits ne sont pas atteints, la dette française va continuer à progresser après avoir bondi de moins de 98% avant la crise Covid à plus de 111% du PIB. Avec le risque qu’elle ne cesse d’enfler.
Taxation. Jusqu’à présent, Emmanuel Macron et Bruno Le Maire ont résisté aux hausses d’impôts, même si les « aides aux entreprises » sont dans le viseur. « La solution qui consistera à augmenter l’impôt des riches, c’est-à-dire, en réalité, des classes moyennes, suscitera leur exaspération légitime », martèle le ministre des Finances, même s’il pousse le sujet d’une taxation plus forte des milliardaires au niveau mondial.
Reste à trouver de telles économies. Sur l’Etat ? Oui, mais les lois de programmation sectorielles pluriannuelles empilées par Emmanuel Macron depuis 2017 représenteront « 31% des dépenses de l’Etat en 2027 », rappelle la Cour des comptes. L’augmentation programmée des budgets de la Défense, de la Justice ou pour la sécurité intérieure, va contraindre les dépenses des autres ministères à diminuer comme jamais.
Quant aux collectivités locales, aux mains des oppositions, il est de plus en plus difficile de les contraindre. Reste… les dépenses de protection sociale, le plus gros morceau des dépenses publiques. En 2021, elles atteignaient 34% du PIB, un record en Europe. Elles dépassaient surtout 56% de la dépense
publique totale en 2022.
Sur les 12 milliards d’économies pour l’instant assumées pour 2025, le gouvernement a promis de trouver une moitié sur l’Etat, et l’autre sur les dépenses sociales… « Notre projet, c’est de faire moins de redistribution et plus de production », explique depuis des mois Bruno Le Maire.
Une ligne totalement assumée par Gabriel Attal depuis son arrivée à Matignon. La liste des pistes d’économies mises sur la table ces derniers jours est impressionnante. Le Premier ministre veut d’abord reprendre le dossier de l’assurance chômage des mains des partenaires sociaux, qui ont prévu de discuter de l’emploi des seniors jusqu’au 26 mars. Il souhaite acter, dans la foulée, une quatrième réforme de l’assurance chômage depuis 2017, pour inciter encore davantage à une reprise rapide d’emploi.
« On est passé de vingt-quatre à dix-huit mois de durée d’indemnisation, on peut encore la réduire. On peut aussi accentuer la dégressivité des allocations, cela fera partie des discussions », a-t-il expliqué ce week-end au Journal du Dimanche. « Cela fait partie des réformes les plus puissantes pour faire baisser le chômage. Soit on veut atteindre le plein-emploi, soit on ne le veut pas », justifie un conseiller du pouvoir. En privé, Bruno Le Maire avait évoqué le passage de dix-huit à douze mois. « C’est peut-être un peu raide », concède le même.
Une telle réforme peut-elle s’ajouter à des mesures spécifiques sur l’emploi des seniors ? Parce qu’elle est exprimée en pourcentage de la durée d’indemnisation, une nouvelle réduction diminuerait davantage le nombre de mois indemnisés de cette catégorie. Reste que ce nouveau tour de vis sur l’assurance chômage apparaît contraire à la « contracyclicité » qui avait présidé à la précédente réforme : l’indemnisation devait être raccourcie en cas de baisse du chômage et rallongée en cas de hausse. Or, le taux de chômage a commencé à remonter pour atteindre 7,5% fin 2023. Mais on reste encore loin du seuil fixé pour étendre les droits, établi à 9%...
Pré-retraites. Gabriel Attal devrait aussi acter la fin des « pré-retraites Unedic », un dispositif grâce auquel un chômeur indemnisé à l’âge légal de départ à la retraite peut bénéficier du maintien de ses allocations tant qu’il n’a pas atteint l’âge d’annulation de la décote. Selon l’Unedic, trois allocataires sur dix âgés de 62 ans ou plus étaient concernés mi-2022. Soit entre 70 000 et 80 000 personnes, dont 20 600 ont théoriquement épuisé leurs droits initiaux à indemnisation. Facture : 400 millions d’euros par an. « Peu présent dans le débat public, ce dispositif pèse fortement dans les négociations de fin de carrière dans les entreprises, en particulier dans les plus grandes », soulignait le Conseil d’analyse économique dès 2016. « C’est une belle trappe à inactivité ! », insiste un conseiller.
En matière de chômage, l’exécutif explore une autre piste explosive. La CSG sur les chômeurs pourrait être augmentée. Ces derniers bénéficient d’un taux réduit, progressif en fonction du montant des indemnités touchées, jusqu’à 6,2% contre 9,2% pour les salariés. « Beaucoup de demandeurs d’emploi sont exonérés. Le taux effectif moyen sur les allocations chômage est de 2% », pointe-t-on dans les allées du pouvoir.
Symboliquement, cette mesure peut être présentée comme un financement des 2 milliards d’euros de baisse de prélèvements en faveur des classes moyennes qui travaillent. Gabriel Attal a fait de leur défense sa marque de fabrique. La hausse de la CSG pour les chômeurs s’ajouterait alors à la suppression surprise, déjà annoncée par le Premier ministre lui-même, de l’allocation de solidarité spécifique pour les chômeurs en fin de droits. Elle sera remplacée par le RSA.
En matière de ballon d’essai, les retraites ne sont pas épargnées. Et pour cause : elles pèsent, à elles seules, 25% des dépenses publiques. Interrogé à ce sujet sur France Inter, le ministre délégué au Budget, Thomas Cazenave, n’a pas exclu une forme de sous revalorisation des pensions par rapport à 2025. « On aura ce débat pour le budget 2025 […]. Est-ce qu’on continue à indexer l’ensemble de nos prestations, l’ensemble de nos transferts ? », s’est-il interrogé.
Santé. Le sujet est explosif, tant les retraités ont soutenu l’élection du Président. Mais la revalorisation des retraites de base de 5,3% a coûté 14 milliards en 2024. Ce ne serait pas si nouveau. En 2018, Edouard Philippe s’était résolu à annoncer une sous-revalorisation des pensions et des prestations pour faire des économies avant la crise Covid.
Reste le dernier éléphant dans la pièce : la santé. Avec le vieillissement de la population, les dépenses de soins progressent vite, comme la facture des traitements innovants. « En sept ans, les dépenses d’assurance maladie sont passées de 185 milliards à 255 milliards », pointe-t-on à Bercy.
Le gouvernement a déjà acté le doublement des franchises médicales en 2024. Non seulement sur les boîtes de médicaments, mais aussi pour une visite chez le médecin ou sur les examens médicaux, les transports sanitaires et les actes paramédicaux (kinés…). « On est le seul pays qui continue à payer 5 milliards par an pour les transports médicaux ! », s’exclame un ministre. Une manne pour les taxis en province.
Une revue de dépenses très sensible se focalise sur la prise en charge à 100% de quelque 12 millions de patients atteints d’affections longue durée (ALD). Il ne s’agit évidemment pas de remettre en cause la prise en charge de ces maladies lourdes. « On n’est pas dingue », se récrie une source au fait du dossier. L’idée serait plutôt de restreindre la prise en charge à 100% par l’assurance maladie pour les autres problèmes de santé de ces patients.
« Je veux bien qu’on ait une grande discussion sur l’aide médicale d’Etat [pour les immigrés clandestins], qui pèse 1,2 milliard, mais, le vrai sujet, c’est l’explosion des ALD qui représentent maintenant quasiment la moitié des dépenses de santé, pointe un ministre, dans un tacle à LR. On dérive lentement vers le mode de pensée du RN : éviter les vrais sujets pour aller faire un débat sur les oreilles recollées financées par l’AME. »
Pour préserver les hôpitaux mal en point, le gouvernement va aussi devoir se colleter le sujet de l’inflation des arrêts de travail. « La question des indemnités journalières et de l’absentéisme touche toute l’économie. Vous pourriez me faire remarquer que c’est un sujet qui a été soulevé il y a six mois, et vous auriez raison », reconnaît un membre du gouvernement. Bercy voulait augmenter le nombre de jours de carence non indemnisés par la Sécu, afin d’inciter les entreprises à travailler sur les conditions de travail. Devant la levée de boucliers, il avait reculé.
Avec un tel catalogue de réformes, en matière de levée de boucliers, Gabriel Attal devrait être servi. Y compris dans sa propre majorité ?
Pour préserver les hôpitaux mal en point, le gouvernement va aussi devoir se colleter le sujet de l’inflation des arrêts de travail
J'aime beaucoup la tirade sur l'autorité qui se perd en conclusion de la vidéo :)
Manu est aussi nul à l'international qu'au niveau national, épisode 465
Le RN, du moins dans le cercle familial des Le Pen, dont fait partie Bardella, est fondamentalement libéral (Le Pen se marketait comme «Le Reagan Français»), contrairement à leur électorat, donc ils marchent sur des œufs. Le talent de Marine a été de garder une complète ambiguïté à ce sujet.