Speaking of cutting costs, the company is still pouring multiple billions of dollars into vaporware called “the metaverse”. News flash: no one wants to wear VR goggles to spend any time in a digital heaven where the role of God is played by Mark Zuckerberg and you can do anything you can imagine, including “work” and “shop”.
Ugh.
I would be happy to be shown to be wrong, wrong, wrong. Maybe there is a useful, engaging, fun, just, equitable, democratic, sustainable, novel VR experience where the avatars have legs, but Meta is $20 billion in and aside from the legs I don’t see any evidence that any of the above is forthcoming.
Yes, I am a little vexed.
Ahahahahaha
Les pro-russes sont totalement désemparés par ce qui se passe.
bon, pas tous hein il y en a toujours qui sont dans le déni total
Edit: Ahahah les mecs sont tellement vénère contre Poutine c'est magique
Mais quelle bande d'abrutis incompétents ! Ah ça veut tout «moderniser», mais ces gens ne seraient même pas capable de faire cuir un plat de nouilles.
Edit: sebsauvage a une bonne remarque à ce sujet
select max(length(nom_commune)) from communes;
Ah non z'y'ont pas pensé.
Les monnaies locales, c'est cool. Mais pourquoi une PUTAIN DE BLOCKCHAIN ?!
BORDEYL
Ce commit tellement rageux, mais en même temps assez détaillé sur des grosses lacunes dans le standard POSIX.
Putain mais les gens de la communication et du marketing, allez vous pendre !
Comment tu veux enseigner l'anglais à des gamins quand tu as des génies sous cocaïne qui te pondent des graphies à la cons de mots anglais dans leurs campagnes …
Ce genre d'article est tellement triste …
La vraie nouvelle c'est «des mecs ont réussi à créer un accéléromètre quantique, et il est très précis». N'importe quel accéléromètre peut servir de GPS, puisqu'il suffit d'intégrer 2 fois l'accélération pour avoir la position. Le problème, c'est que la moindre imprécision de l’accéléromètre s’amplifie au cours du temps, et fini par très vite donner des résultats très approximatifs.
C'était pas très compliqué à expliquer, mais il semblerait que 01net (bon ok c'est un magazine de merde à la base) préfère utiliser la référence magique «c'est un machin quantique, ça va changer le monde et sauver la planète de l'apocalypse».
Sérieusement les mecs …
Edit: l'article wikipédia sur les centrales inertielles est vachement bien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Centrale_%C3%A0_inertie
Je retranscris ici une discussion que j'ai eu sur facebook avec un pote de pote à propos de cet article. Non pas parce que ce débat est spécialement intéressant, mais j'ai passé suffisamment de temps à écrire mes arguments pour avoir envie de les conserver :p. (Et oui, je craque un peu sur la fin …) :
Lui : j'ai lu cet article. Je n'y ai pas trouvé énormément de fond, mais voici quelques remarques.
1- Les thèses qui créent deux camps (ici les gagnants et les autres), et qui discréditent d'emblée l'un de deux, m'insupportent. En effet, si je m'érige contre la thèse de l'auteur (quelle est-elle au juste, d'ailleurs ?), je défends une "organisation sociale inégalitaire dont [je] bénéficie". Impossible donc d'argumenter, puisque je suis bénéficiaire d'un système et que je cherche à le perpétuer. On est pas très loin des thèses complotistes : si le médecin promeut la vaccination, c'est parce qu'il en bénéficie (il est corrompu par Pfizer), impossible qu'il soit sincère.
2- Il faudrait définir le mérite avant d'en parler. Qui est méritant ? Uniquement les fils d'employés et d'ouvriers ? C'est impossible d'être méritant quand on est fils de médecin ou d'ingénieur ? Drôle de vision. D'ailleurs, le fils d'ouvrier qui réussit n'a aucun mérite, s'il réussit c'est parce que ses parents l'ont aimé, et peut-être qu'il a eu un peu de chance (avec une intelligence innée importante).
3- Les cas de Sciences Po et de l'ENA sont un peu particuliers, et je conviens volontiers qu'il faut certains codes sociaux pour les intégrer et s'y acclimater. Ces codes sociaux sont plus compliqués à acquérir quand on vient de Chauvoncourt, dans la Meuse, comme moi, que quand on vient de Versailles. Cependant, cette discrimination, si l'on peut dire, s'estompe davantage quand on parle de sciences et d'écoles scientifiques.
4- Clairement les exemples de trajectoires descendantes, comme il est dit dans l'article, sont également légion. Preuve s'il en fallait que les dés ne sont pas complètement pipés d'entrée de jeu.
Moi : «Il faudrait définir le mérite avant d'en parler. Qui est méritant ? Uniquement les fils d'employés et d'ouvriers ? C'est impossible d'être méritant quand on est fils de médecin ou d'ingénieur ?»
C'est exactement le contraire qui est dit dans l'article ! L'auteur se plaint du fait que derrière la méritocratie affichée (ceux qui sont au sommet le sont parce qu'ils ont réussit leurs études, c'est bien qu'ils le méritent) se cache en fait la reproduction sociale. En résumé ce qu'il dénonce avant tout c'est l'emploi de ce mot qui ne sert qu'à légitimer la position de la classe dominante.
Quant à l'idée que les matières scientifiques sont moins discriminantes socialement, c'est un mythe qui est depuis longtemps largement démonté par les études sociologiques. (Le mécanisme est moins intuitif que pour la culture générale, mais ça se comprend au moins en partie grâce au concept de «conflit de loyauté»)
Lui : je ne nie pas l'existence d'une discrimination sociale pour les disciplines scientifiques, je dis simplement qu'elle me semble moins importante. Si je prends ce tableau (https://www.inegalites.fr/Des-classes-preparatoires-et-des-grandes-ecoles-toujours-aussi-fermees), j'ai à la fois raison et tort :
- il y a en effet plus de fils d'ouvriers et d'employés en écoles d'ingénieur qu'à l'ENA ;
- il y a cependant plus de fils d'ouvriers et d'employés à l'ENA qu'à l'Ecole Polytechnique.
En réalité, comme il n'y a pas d'écoles littéraires, qui seraient comparables aux écoles d'ingénieur, c'est difficile de comparer (un point, qu'il s'agisse de l'ENA ou de l'X, ne représente pas suffisamment de données).
De quelles études sociologiques parles-tu ?
Lui : Par ailleurs, je maintiens que la définition du mérite manque.
Ce n'est pas parce qu'on est issu de la "classe dominante" qu'on réussit nécessairement, loin s'en faut. Dit autrement, la reproduction sociale, fait global, ne redescend pas mécaniquement sur l'individu, au niveau individuel. Ce dernier doit fournir beaucoup d'efforts pour intégrer, par exemple, une école telle que l’École normale supérieure.Alors certes ici on décrit des faits sociologiques globaux, pas des trajectoires particulières mais il me semble essentiel d'éviter de refuser le qualificatif de méritant à un fils de cadre supérieur, par exemple.
Moi : Celle sur l'X justement avait fait un peu de bruit il y a quelques temps https://la-sphinx.fr/les-concours-ne-sont-pas-neutres/
(attention, l'idée n'est pas de faire une comparaison précise du «facteur de discrimination» de telle ou telle matière, juste de reconnaître que les matières scientifiques sont globalement à peu près autant source de discrimination par rapport au milieu social que les matières littéraires, contrairement à la légende urbaine sur neutralité des mathématiques)
Lui : Je conçois tout à fait cette discrimination sociale, que je ne nie nullement. Je dis simplement qu'à mon humble avis, elle est moindre - tout en étant importante, je me répète - que dans les matières littéraires. C'est une étude sociologique sur cet aspect des choses qui m'intéresserait - quitte à ce qu'elle n'aille pas dans mon sens :)
Moi : «Par ailleurs, je maintiens que la définition du mérite manque.»
En quoi est-ce une surprise qu'elle ne figure pas dans un article dont la thèse c'est justement de dire «le concept de “mérite” c'est du bullshit» ?
«mais il me semble essentiel d'éviter de refuser le qualificatif de méritant à un fils de cadre supérieur, par exemple.»
C'est un retournement de l'argumentation de l'auteur ça ! L'idée de l'article, ce n'est pas de dire «un fils de cadre sup' n'est pas méritant», il ne dit absolument pas ça ! Ce qu'il dit c'est «Arrête de la ramener avec ton “mérite”, qu'est-ce qui te permet de croire que tu es plus méritant qu'un autre ?».
Lui : Je pense que, quand on écrit un article sur la méritocratie, la moindre des choses c'est de définir ce dont on parle. Je ne reçois pas non plus ton argument : pour dire que le concept de "x" c'est du bullshit, encore faut-il définir "x".
Si l'auteur dit "Arrête de la ramener avec ton mérite", ça veut bien dire qu'il nie le caractère méritant du parcours du fils de cadre supérieur. Ensuite, on ne pourra pas répondre à la question "qu'est-ce qui te permet de croire que tu es plus méritant qu'un autre ?" puisqu'on ne sait pas la définition du mérite. Par exemple, il est peut-être plus méritant qu'un autre parce qu'il a passé ses week-ends à réviser ses équations différentielles et son algèbre linéaire, alors que ses potes partaient pêcher.
Moi : rhaaa t'est un troll russe c'est ça ? c'est pas possible autrement …
Lui : Même pas mais on tourne en boucle. C'est quoi ta thèse ? Tu es d'accord avec l'auteur, donc il n'y a pas de mérite ? Comment tu le définis, toi, le mérite ?
Moi : Définition implicitement donnée par l'auteur «le “mérite”, c'est quelque chose dont se prévalent ceux qui se trouvent dans une position dominante».
La discussion ne porte absolument pas sur le fait de savoir s'il existe des gens qui sont plus ou moins «méritants» que d'autres ou de chercher à définir des critères de mérititude. Il s'agit juste de constater que le mot «mérite» est employé comme alibi social pour justifier sa position de domination.
Lui : Bon, si c'est cela, je passe à autre chose. Ça renvoie totalement au 1- de mon premier commentaire.
Puisque je défends au contraire l'existence d'un mérite, je ne peux pas discuter avec l'auteur, ni avec toi - puisque je comprends que tu es en phase avec lui.
Moi : Sauf qu'à aucun moment l'article ne pose la question de savoir s'il existe (la réponse est évidemment oui, et c'est tellement trivial que je ne suis pas convaincu que ça mérite d'être «défendu» …).
L'article dit juste: le MOT “mérite” est aujourd'hui employé comme instrument de domination, et de justification des inégalités sociales. «Je gagne deux fois plus que toi, non mais tu comprends c'est parce que je le mérite» en feignant de ne pas voir que les dés sont pipés dès le départ, et que contrairement à ce que ce discours (et le mot même de «méritocratie») sous-entend, la richesse et le statut social des individus n'est pas du tout une fonction des «efforts fournis». (#doubleNégation)
En t'accrochant, par un réflexe défensif, à chercher une «définition du mérite» (au sens «effort») tu passes complètement à côté du texte (qui parle de «mérite» comme mot employé dans un certain discours à portée politique) …
Très honnêtement ça me fait un peu penser aux mecs qui réagissaient à #balancetonporc en disant «non mais y'a aussi des mecs adorables d'abord !». Ok, mais c'est juste pas le sujet en fait …
Sur ce, bon après-midi.
On n’en finit pas, par exemple, de contempler les étonnants renversements qui conduisent l’éditocratie à trouver horrifiant ici ce qu’elle trouvait admirable là, et réciproquement. « Qu’ils dégagent ! » en Tunisie : magnifique ; « Macron démission ! » : foule haineuse. Place Tahrir : printemps arabe ; Place de l’Étoile : hordes de casseurs. Crémation des statues de Chávez : peuple en lutte ; parodie de guillotine pour Macron : extrémistes violents. Police poutinienne : dictature ; police macronienne : ordre républicain.
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On pense au misérable QCM gouvernemental, à ses lignes déjà toutes tracées (« Baisser le taux d’impôt sur les sociétés à 25% », « Rendre la fiscalité du capital comparable à celle des autres pays européens pour stimuler l’investissement, y compris en supprimant l’ISF »), à sa manière toute particulière de poser les questions (« Identifier le type de dépenses publiques à baisser », « Faut-il supprimer certains services publics ? »), bref à cette parfaite ouverture du débat ouvert
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En fait, les institutions de la surdité organisée finissent toujours par recueillir l’émeute, et c’est dans l’ordre des choses.
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Parfois aussi, c’est sous la forme la plus innocente que se laisse découvrir la vérité : un syndicaliste policier, invité de l’émission d’Arrêt sur images (5), exprime avec une désarmante candeur son désarroi : « Les manifestants ne jouent plus le jeu ». C’est tellement complet, tellement profond, que c’en est vertigineux. En un mot, tout est dévoilé. La pantomime démocratique-sociale, c’était un jeu. Vous faites semblant de demander, nous faisons semblant d’écouter — n’oubliez pas de vous munir de vos merguez, et soyez rentrés pour 18 heures. Incidemment, le syndicaliste policier nous apprend que dans la liste des morts en puissance, on pourrait bien compter, non seulement Macron, les institutions de la Ve République, la presse, mais aussi les confédérations syndicales (au désespoir de leurs bases, souvent admirables) : mortes d’inutilité, pour n’avoir fait trop longtemps que « jouer ». Car voilà la chose enfin dite : Bastille-Nation, c’était un jeu.
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Au stade où nous en sommes, d’ailleurs, il n’est plus seulement question de la surdité des institutions, mais aussi de l’infamie des personnes, qui fait du renversement presque une exigence sanitaire. On dit qu’on connait quelqu’un à ceux dont il fait ses proches. Castaner, Griveaux, Benalla. Benalla, nous commençons à être fixés. Griveaux, on a bien avancé également (7). Non, là c’est Castaner qui fait une percée. « Aucun policier n’a attaqué de “gilets jaunes” », c’était déjà une sorte d’exploit. Ici on se demande : que peut-il se passer dans une tête comme celle de Castaner pour oser ceci quand (normalement) il doit savoir que les réseaux sociaux sont submergés des preuves de son obscénité ? Mais on connait que quelqu’un a atteint le dernier degré de l’ignominie quand ses efforts pour tenter de s’en tirer l’y enfoncent encore davantage : quelques jours après, réflexion faite, « il y a eu des atteintes graves à la vision ».
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Yaël Pivet-Braun, la présidente LREM de la commission des lois déclare sur RFI qu’elle « ne croi(t) pas qu’il y ait eu d’abus des forces de l’ordre (8) ». Comment des députés LREM peuvent-ils s’étonner de retrouver murées leurs résidences ou peinturlurées leurs permanences ? Par exemple : vous aviez deux mains, une est arrachée par une grenade qui est une arme de guerre. Là-dessus, vous vous entendez dire qu’il n’y a pas eu d’abus des forces de l’ordre, et même, de TF1, qu’il n’y a aucun blessé grave. Puis Macron ment outrageusement. « Vous êtes le seul pays qui utilise des grenades contre sa population » l’interpellent des étudiants à l’université de Louvain — « Alors là, vous dites n’importe quoi ». Qui niera qu’il y a de quoi avoir des envies de parpaings et de truelle ? — même à une seule main.
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À l’époque, déjà, Christophe Barbier ne voyait pas ce qu’on pouvait opposer à la légitimité de Louis XVI puisqu’il avait été installé selon les procédures régulières de la succession dynastique — parfaitement légitimes, ainsi, par conséquent, que le produit de leur opération. Ce que ces gens sont à l’évidence incapables de voir, c’est que la légitimité n’est pas une qualité substantielle. Un temps les institutions sont dites légitimes. Et puis un jour on les regarde sous un autre angle, et on se dit qu’en fait elles ne le sont pas. Alors elles tombent, et toujours de la même manière : sous le poids du scandale.
Un niveau de foutage de gueule assez épatant en vérité.
Quand le mouvement des gilets jaunes s'avance comme un mouvement anti-néolibéralisme et anti-mondialisation [1], qui arrive en France après que le même type de mouvement a frappé le Royaume-Uni (Brexit) et les États-Unis (Trump) avant nous, et voilà que ce cher sénateur vient nous expliquer que la source du mal c'est de ne pas avoir «réformé» plus tôt et que la solution c'est de le faire au plus vite.
Ça fait pourtant 35 ans, depuis 1983 pour être précis, que ce sabotage en règle que tous les «pragmatiques» appellent «réformes» est à l'œuvre sans interruption dans notre pays. Avec la dérégulation des marchés financiers et la libre circulation des capitaux dans les années 80, avec les privatisations du service public (Poste, Télécom, Électricité, gaz, banques, autoroutes), et des grands projets industriels (rail, nucléaire, armement), avec l'abolition des droits de douanes censées apporter la prospérité à tous [2], avec le renoncement à l'action politique[3], en ayant fait de l'Europe un gloubi-boulga ingouvernable, présidés en 2018 par un improbable triplet Estonie−Bulgarie−Autriche.
Trente-cinq ans que l'industrie Française se meurt, entre délocalisation et démantèlement des groupes industriels, laissant sur le carreau des millions de chômeurs. Et en même temps, ça fait 35 ans qu'on creuse artificiellement la dépense publique, avec des politiques fiscales ineptes et un impôt de moins en moins redistributif. Ah oui on parle de dépense publique et de fiscalité trop forte, quand il s'agit de donner les moyens à la justice où à l'éducation nationale, mais curieusement beaucoup moins quand il s'agit de distribuer des milliards par-ci directement aux particuliers les plus fortunés (bouclier fiscal hier, flat-tax aujourd'hui) et des dizaines de milliards (CIR et CICE) aux actionnaires des entreprises.
J'aimerais aussi revenir sur un passage du discours :
Pour les mêmes raisons que dans une démocratie il est préférable de mettre des bulletins dans des urnes que des pierres dans les vitrines.
Alors ça, je suis mais alors 100% d'accord, et la grande majorité des gilets jaunes aussi, mais c'est justement là le sens de l'appel populaire à la démission du président de la république [4] ou l'appel à une dissolution de l'assemblée nationale [5] : pour avoir une urne dans laquelle mettre son bulletin, plutôt que de devoir passer le temps pendant 3 ans en jonglant avec des pavés.
[1] on le voit dans les panels revendication qui émergent de manière plus ou moins anarchiques: opposition à la privatisation des services publics, à la concurrence internationale et aux délocalisations mais aussi à l'ouverture sur le monde et à la libre circulation des personnes.
[2] et merveilleux points de croissances du PIB qu'on nous promet à chaque signature d'un traité de libre-échange
[3] «ça on ne peut pas faire, c'est au niveau européen que ça se joue», tant pis s'il n'y a pas de gouvernement Européen, comme ça on peut juste dire qu'on ne peut rien faire.
[4] que je ne souhaite pas, la Vème République n'étant pas conçue pour fonctionner sans président de la République.
[5] que j'appelle de mes vœux, une cohabitation nous garantissant contre les dérives populistes qui menaces normalement dans ces situations.
Les «rationalistes» et leur «combat contre la grande escroquerie de l'homéopathie», vous êtes tellement à côté de la plaque vous me fatiguez … #FakeMed
Oui l'homéopathie c'est juste du sucre avec un joli packaging mais →
− on n'a jamais convaincu personne en étant condescendant, et franchement de ce point de vue là vous frisez les sommets.
− empiriquement l'homéopathie MARCHE. Oui elle ne marche pas mieux qu'un placebo, mais l'effet placebo est bien réel, avec des effets parfois stupéfiants (https://www.wnycstudios.org/story/real-doctors-fake-medicine-placebos). Qu'est-ce qu'il y a de mal à vendre des placebos en pharmacie ?
Je veux dire, par rapport à la quantité de merdes qui s'y trouvent déjà, entre régime minceur miracle et gadgets made in china censés aider à mieux dormir.
Alors oui, soigner un cancer avec seulement de l'homéopathie, c'est suicidaire, mais paradoxalement, en harcelant les consommateurs d'Oscillococcinum, vous ne faites que les radicaliser : l'inverse de l'effet escompté.
Vous rendriez un grand service à tout le monde si votre discours se bornait à dire : «Oui l'homéopathie ça marche, comme le Doliprane, mais vous ne prendriez pas seulement du Doliprane pour guérir d'un cancer ?»
Au lieu de ça vous vous obstinez à casser les couilles à votre grand-mère/mère/ belle-mère qui prend de l'homéopathie. Sauf que votre grand-mère son problème c'est qu'elle est VIEILLE, et la médecine ne peut rien pour elle.
Et elle tout ce qu'elle veut c'est se SENTIR soignée.
Et oui Boiron sont des salauds de capitalistes comme les autres labos pharmaceutiques, mais là le problème ce n'est pas l'homéopathie, c'est le capitalisme ;)
Nickel, cobalt, aluminum, manganèse, graphite… Les voitures électriques consommeraient deux fois plus de métaux rares que les voitures à essence
Mais merde à la fin !
Le graphite n'est même pas un métal, quand à l'aluminium c'est le 3ème composant le plus abondant de la croûte terrestre (derrière l'Oxygène et le Silicium) !
L'article est intéressant sinon, mais ce genre d'ânerie le décrédibilise complètement …
Petit coup de gueule contre un argument complètement idiot qu'on entend à tire-larigot depuis les nouvelles révélations du Monde sur l'évasion fiscale pratiquée par tous les grands groupes et les grosses fortunes.
Prétendre qu'on ne peut rien faire au prétexte que «c'est légal», c'est d'une stupidité sans nom. Il est difficile de lutter contre les choses qui existent alors qu'elles sont illégales, comme la fraude à la TVA ou le trafic de drogue par exemple, il faut faire des enquêtes et mettre en place des contrôles, ce qui demande des moyens humains importants. Mais lutter contre un truc nuisible alors qu'il est légal, c'est super simple : il suffit de faire une loi pour le rendre illégal !
Et ça tombe bien, à défaut d'être utile à autre chose, nos homme politiques sont les champions quand il s'agit de pondre une loi en réaction à un fait d'actualité, mais quand le fait en question est déjà parfaitement couvert par le droit. C'est normal, faire une nouvelle loi ça ne coûte pas cher, beaucoup moins que de faire appliquer les anciennes (pour ça il faudrait donner des moyens à la police, budgétairement c'est pénible).
Pourtant, lorsqu'il s'agit d'«évasion fiscale», il n'y a pas grand-monde dans la majorité pour proposer de faire une loi qui rendrait ces pratiques illégales …
Et qu'on ne me dise pas que c'est difficile, la quasi-totalité des pratiques en question étaient interdites jusque dans les années 80, avant qu'on décide de supprimer toutes les règles sur la circulation des capitaux.
Le génie du robocopyright de Youtube : Ce matin Orelsan a mis en ligne toutes les chansons de son dernier album La fête est finie (qui est excellent au passage). Et voilà que depuis quelques minutes toutes ces chansons sont inaccessibles, bloquées pour raison de droits d'auteur.
À côté de ça on peut encore trouver les chansons en question sur Youtube postées par des mecs qui vont se faire de la thune sur le dos d'Orelsan …
On remarquera que la deuxième vidéo a 11 fois plus de vues que celle d'orelsan …
Je me suis mis à lire des publications de recherche en économie ces derniers temps et franchement j'ai l'impression d'être à la place d'un prof de collège quand il corrige des copies avec des élèves qui écrivent n'importe quoi. C'est des erreurs de logique évidente, ou bien des interprétations fantaisistes de données, des mecs qui vivent dans un monde parallèle, etc. Je n'ai pas encore trouvé un papier qui n'ait pas une énorme ânerie dedans !
J'en viens à me demander si un mec sérieux et rigoureux pourrait choisir de faire de la recherche dans un domaine aussi fumeux. Et si ce n'est pas le cas, peut-être que l'économie est condamnée à rester éternellement une discipline pseudo-scientifique : si le niveau présent dissuade les scientifiques rigoureux de rejoindre ce champ de recherche, alors le niveau futur sera tout aussi mauvais …